du 23 au 24 mai 2017 :
WELLINGTON et PALMESTORN NORTH
Nous rejoignons la ville de Picton au Nord de l'île du Sud. C'est ici que part le ferry qui relie par voie maritime les deux îles de la Nouvelle Zélande. Nous embarquons à bord à 14h15 pour une traversée de 3 heures environ, direction Wellington sur l'île du Nord.
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dans la file d'attente pour embarquer à bord du ferry |
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traversée entre l'île du Sud et l'île du Nord |
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Malborough Sound |
C'est le cœur chargé de merveilleux souvenirs et la tête pleine d'époustouflantes images que nous quittons l'île du Sud.
Nous serons émerveillés jusqu'au bout car au départ de Picton, le ferry traverse les Malborough Sound, qui forment une dentelle d'îles et de baies sauvages dans un ensemble de vallées submergées par la mer.
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couché de soleil sur les côtes de Wellington |
Bienvenue à WELLINGTON, la capitale de Nouvelle Zélande :
Wellington est devenue la
capitale de la NZ depuis peu afin de liaisonner les deux îles symboliquement,
avant c’était Auckland.
A Wellington, nous allons visiter le musée national TE PAPA que
beaucoup de monde nous a conseillé d’aller voir. Ce musée (dont l'entrée est gratuite !) est constitué de 6 niveaux de salles d'exposition consacrées à la culture et aux traditions des maoris, aux sciences de la terre (volcan, tremblement de terre) et à la faune et la
flore néo-zélandaises.
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totem Maori |
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le Moa |
Nous avons été fascinés par les explications sur la formation des volcans, les éruptions volcaniques et les tremblements de terre (dont la maison branlante qui nous donne l’impression de vivre l'expérience d'un tremblement de terre). Nous avons aussi pu observer les différentes espèces animales de Nouvelle Zélande dont le fameux Moa, le plus grand oiseau au monde, qui fait malheureusement partie des espèces disparues. Et nous avons été bluffé par ce qui est probablement le plus gros calamar jamais pêché jusqu'à présent, et qui est conservé dans un bassin au Te Papa. Il mesure 2,5 mètres de long et pèse 495 kg, un vrai monstre des mers tel que Jules Verne a pu l'imaginer dans son roman
"vingt mille lieues sous les mers".
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"Nous sommes ici, de l'autre côté du monde !" |
Il y avait aussi une exposition temporaire militaire sur
la bataille de Gallipoli (appelée plus communément les Dardanelles pour les
français). Ce qui nous a permis encore une fois de découvrir une partie
méconnue de la Grande Guerre, où les français ont participé d’ailleurs. Le désastre de la Gallipoli est un moment très important pour les Kiwis et les
Australiens. En 1917, un grand corps expéditionnaire des alliés dont les NZ débarque
sur la baie Gallipoli en Turquie. La Turquie est l’alliée des allemands
durant le première guerre mondiale. Ce débarquement mal préparé et sous-estimant
les forces armées turques, fut un vrai massacre pour les alliés. Néanmoins tous
les 25 avril (date anniversaire de ce débarquement) les NZ et les Australiens (ANZAC)
commémorent cette bataille qui dura 5 mois. Elle fut la première grande
bataille pour ces nouveaux continents. D’ailleurs cette commémoration surpasse
le 11 novembre !
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Les coiffes des soldats Kiwis à la Baden Powel |
Ce fut une très belle visite du musée qui a passionnée toute la famille,
à tel point que nous y sommes restés 5 heures.
Notre programme sur l'île du Nord est dense et le temps nous est compté, nous ne nous éterniserons donc pas sur
la ville et reprenons la route pour notre deuxième étape :
Palmerston North. C'est dans cette ville que se trouve le musée du rugby, un incontournable pour les fans des All Blacks comme Luca ! Nous découvrons l'histoire du rugby néo-zélandais et apprenons ainsi que le rugby est
arrivé très tôt en Nouvelle Zélande, vers 1870 grâce à un certain Charles John Monro. Nous avons aussi découvert qui était William Webb Ellis (créateur du rugby) et dont la coupe du monde
de rugby porte le nom.
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Charles John Monro |
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le HAKA |
Les garçons s'entrainent au HAKA dont ils apprennent la traduction et la signification culturelle maorie (= célébration de la vie sur la mort). Cette danse guerrière maorie n’est pas seulement liée au rugby, les néo-zélandais la pratique dans les écoles, les universités et même dans l’armée. Ce rituel terrifiant permet avant tout d'optimiser ses performances avant même d'impressionner ses adversaires.
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L'évolution de la corpulence des joueurs entre 1905 et maintenant! impressionnant |
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